Au XXIe siècle le nombre de réfugiés dans le monde a explosé. On en compte plus de cinquante trois millions aujourd’hui, un chiffre inégalé depuis la fin de la seconde guerre mondiale.
Le travail minutieux du photographe John Vink, qui a documenté les camps de réfugiés partout dans le monde durant près de vingt ans, est donc malheureusement toujours d’actualité. Particulièrement ici, à Sète, dans cette ville baignée par une mer Méditerranée devenue le tombeau de dizaines des milliers de candidats à l’exil.
John Vink, photographe membre de l’agence VU’ dans les années 80, puis de l’agence Magnum, et aujourd’hui du collectif MAPS dédié aux écritures documentaires, a documenté sans relâche au gré de l’histoire, des guerres ou des totalitarismes, une vingtaine de pays, du Malawi au Cambodge en passant par le Soudan…
Du départ contraint de leur pays, à l‘arrivée et à la tentative de reconstruction d’une vie « normale » John Vink capte tout ce qu’il peut de la vie de ces migrants. S’il ne peut les aider matériellement, par sa présence et ses images, il leur redonne droit à la parole. C’est alors tout le processus de ce déracinement qui nous apparaît dans une iconographie respectueuse, digne et talentueuse.
Du mardi au vendredi : 15h-18h
Samedi : 15h-19h
Entrée libre et gratuite
Adresse : 17 rue Lacan 34200 Sète
Le travail minutieux du photographe John Vink, qui a documenté les camps de réfugiés partout dans le monde durant près de vingt ans, est donc malheureusement toujours d’actualité. Particulièrement ici, à Sète, dans cette ville baignée par une mer Méditerranée devenue le tombeau de dizaines des milliers de candidats à l’exil.
John Vink, photographe membre de l’agence VU’ dans les années 80, puis de l’agence Magnum, et aujourd’hui du collectif MAPS dédié aux écritures documentaires, a documenté sans relâche au gré de l’histoire, des guerres ou des totalitarismes, une vingtaine de pays, du Malawi au Cambodge en passant par le Soudan…
Du départ contraint de leur pays, à l‘arrivée et à la tentative de reconstruction d’une vie « normale » John Vink capte tout ce qu’il peut de la vie de ces migrants. S’il ne peut les aider matériellement, par sa présence et ses images, il leur redonne droit à la parole. C’est alors tout le processus de ce déracinement qui nous apparaît dans une iconographie respectueuse, digne et talentueuse.
Du mardi au vendredi : 15h-18h
Samedi : 15h-19h
Entrée libre et gratuite
Adresse : 17 rue Lacan 34200 Sète
du 01/02/2019 00h00 au 27/04/2019 23h50
http://www.la-mid.fr
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