Pour leur intervention à Act'Image, la photographe de Tendance Floue, Flore-Aël Surun ainsi que le journaliste, critique et chroniqueur, Nicolas Dutent proposent un workshop de photographie documentaire sur le quartier de Bacalan.
Chaque stagiaire est amené à choisir son mode d'expression, la photographie ou le témoignage (écrit ou oral). La volonté de cet atelier est de relier les deux modes d'expression en amenant chaque participant à travailler en binôme (photo + texte). Les binômes seront constitués aléatoirement lors de la première journée.
"Vivre ensemble veut alors dire vivre ensemble bien, selon le bien, un bien de la confiance, de l’accord ou de la concorde" (Jacques Derrida). La photographe Flore-Ael Surun poursuivra ici un travail engagé depuis plusieurs années autour de la tentation de la paix, si fragile et nécessaire, qui aboutit récemment au film photographique « Au bonheur des dames », fruit d’une immersion au Blanc Mesnil auprès de celles qui agissent pour l’égalité, l’éducation, la construction de liens sociaux, l’entraide.
Nicolas Dutent mettra à profit ses connaissances théoriques et pratiques. Chacun trouve les moyens de sa survie et il nous importera de chercher les manières dont un quartier — Bacalan en l’occurrence — parvient à traquer du sens et du collectif là où ils semblent en déshérence dans la société. Pour y parvenir, nous proposerons aux stagiaires, photographes, journalistes, rédacteurs semi-pro, pro et amateurs éclairés, d’étudier, par le biais de reportages photo et de rédactions écrites, ce que leur apparaît comme les signes plus ou moins évidents de l’existence de ce vivre-ensemble.
Cette mise en scène prendra des formes variées : portraits, interviews, témoignages, récits… Il sera question pour eux aussi de s’interroger sur les conséquences, directes ou indirectes, des mutations urbaines.
Un quartier populaire est-il menacé de perdre son identité sous l’effet des changements de la ville ? Quels risques et quelles perspectives sociales et économiques de tels événements laissent-ils planer ? La perception du quartier et de ses habitants évolue-t-elle elle-même dans ce processus ? De quelle manière ces modifications sont-elles perçues à l’intérieur et à l’extérieur du quartier, ces perceptions s’entrechoquent-elles ? Autant de questions que nous tenterons d’empoigner et qui, toutes, méritent d’être posées.
Chaque stagiaire est amené à choisir son mode d'expression, la photographie ou le témoignage (écrit ou oral). La volonté de cet atelier est de relier les deux modes d'expression en amenant chaque participant à travailler en binôme (photo + texte). Les binômes seront constitués aléatoirement lors de la première journée.
"Vivre ensemble veut alors dire vivre ensemble bien, selon le bien, un bien de la confiance, de l’accord ou de la concorde" (Jacques Derrida). La photographe Flore-Ael Surun poursuivra ici un travail engagé depuis plusieurs années autour de la tentation de la paix, si fragile et nécessaire, qui aboutit récemment au film photographique « Au bonheur des dames », fruit d’une immersion au Blanc Mesnil auprès de celles qui agissent pour l’égalité, l’éducation, la construction de liens sociaux, l’entraide.
Nicolas Dutent mettra à profit ses connaissances théoriques et pratiques. Chacun trouve les moyens de sa survie et il nous importera de chercher les manières dont un quartier — Bacalan en l’occurrence — parvient à traquer du sens et du collectif là où ils semblent en déshérence dans la société. Pour y parvenir, nous proposerons aux stagiaires, photographes, journalistes, rédacteurs semi-pro, pro et amateurs éclairés, d’étudier, par le biais de reportages photo et de rédactions écrites, ce que leur apparaît comme les signes plus ou moins évidents de l’existence de ce vivre-ensemble.
Cette mise en scène prendra des formes variées : portraits, interviews, témoignages, récits… Il sera question pour eux aussi de s’interroger sur les conséquences, directes ou indirectes, des mutations urbaines.
Un quartier populaire est-il menacé de perdre son identité sous l’effet des changements de la ville ? Quels risques et quelles perspectives sociales et économiques de tels événements laissent-ils planer ? La perception du quartier et de ses habitants évolue-t-elle elle-même dans ce processus ? De quelle manière ces modifications sont-elles perçues à l’intérieur et à l’extérieur du quartier, ces perceptions s’entrechoquent-elles ? Autant de questions que nous tenterons d’empoigner et qui, toutes, méritent d’être posées.
190 rue Achard
du 15/04/2016 00h00 au 17/04/2016 23h50
http://www.act-image.fr/workshop/
http://www.act-image.fr/workshop/